dimanche 21 août 2011

LE GOUVERNEMENT BEJI CAID ESSEBSSI POURRAIT RESTER APRES LES ELECTIONS

Le derniers discours de BCE laisse entendre clairement la possibilité pour son gouvernement de rester après les élections de la constituante.
C'est trés grave il faut se mobiliser des maintenant pour éviter celà.   

UN VRAI PROGRAMME COURAGEUX

المحامي المناضل عبد الناصر العويني يقترح انشاء حكومة وحدة وطنية بدل الحكومة الان...تقالية الملتفة على الثورة ما رايكم ?
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حكومة وحدة وطنية ذات برنامج انتقالي بخمس نقاط
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يتأكد من يوم لآخر أن الحكومة الحالية تسعى بشكل منهجي لتقويض مرتكزات الثورة التونسية والانحراف بمسارها في اتجاه عملية تغيير فوقية تحافظ على بنية الدولة القديمة و تعيد انتاج نظام الفساد و الاستبداد و التهميش والتفقير بأشكال و شخوص جديدة, و ذلك لمصلحة زمرة من البرجوازية اللقيطة الطامحة للتشكل كمافيا جديدة بديلة عن مافيا بن علي, و المسنودة بشلة من القيادات الأمنية الفاسدة وبنفس المنظومة القضائية الموروثة عن سلطة بن علي هدفها التمهيد لافتتاح حقبة جديدة من النهب و الاستثراء الاجرامي غير الشرعي قد تدوم لأكثر من عشرين سنة.تترافق هذه المخططات بحالة من الوهن و القصور السياسيين لدى أغلب الأحزاب و السياسية,إن لم نقل كلها, عن طرح خطة عمل بديلة و خلق حالة استقطاب مضادة قادرة على التعبئة الشعبية و على تأمين التغيير الثوري في اتجاه تركيز الجمهورية الديمقراطية وبناء الدولة الجديدة التي ستضمن تكريس مواطنة حقيقية قوامها التوزيع العادل للثروة الوطنية و احترام الحريات العامة و الفردية و من في ظل سلطات شعبية وسلطات خاضعة للرقابة الشعبية المباشرة. لذا فإن المطروح راهنا على القوى الثورية الملتزمة باستكمال المسار الثوري أن تتوافق على برنامج مرحلي يكون أرضية لتشكيل حكومة وحدة وطنية تقوم مقام الحكومة الحالية المعادية للثورة و تتولى الاشراف على تخليص الفترة الانتقالية بجميع استحقاقاتها و في مقدمتها انتخاب المجلس التأسيسي.و في هذا الصدد نتقدم بالبرنامج الآتي ذي خمس نقاط نعتقد أنها محورية و مفصلية في اتجاه الأهداف السابق عرضها:

1/تأميم جميع ممتلكات عائلة بن علي و مقربيه, كتأميم كل المشاريع و المؤسسات العمومية التي أخضعت للخوصصة في إطار عمليات مشبوهة و غير شفافة من قبل النظام السابق و تخصيص نسبة من ريعها و مردوديتها لإنجاز مشاريع اقتصادية و اجتماعية بشكل فوري بالمناطق المفقرة و التي كانت منطلق و خزان الحراك الثوري الذي أدى إلى إسقاط رأس النظام.

2/وضع رؤوس الأموال التي كانت تدور في فلك بن علي و التي مثلت طيلة فترة حكمه الممول الرئيسي لبرامجه و سياساته تحت الرقابة الإدارية و المالية لسلطات حكومة الوحدة الوطنية المؤقتة ومنعها بالتالي من القيام بأي دور تخريبي لمسار الثورة من حيث التخطيط أو التمويل.

3/ سن قانون المساءلة المالية "من أين لك هذا؟" وإجبار كل شخص أثرى عن طريق استغلال وضعه في النظام السابق أو علاقته به على إرجاع ما حصله إلى خزينة الدولة و تخصيص جزء من هذه المداخيل لانجاز مشاريع تشغيل آنية خاصة للمعطلين من ذوي الشهائد العلمية.

4/تشكيل هيئة قضائية مختصة بالنظر في جرائم و تجاوزات أركان و أعضاء النظام السابق أيا كانت مسؤوليتهم وفقا للمعايير الدولية للقضاء العادل وبتوفير كافة ضمانات المحاكمة العادلة مع فرض وجوبية المحامي لكل من سيقع تتبعه أمام هذه المحكمة, على أن تكون الهيئة القضائية مستقلة تماما عن حكومة الوحدة الوطنية المؤقتة من حيث الادارة و التمويل.

5/وضع خطة لإصلاح المنظومة الأمنية و ذلك عبر تطهيرها من القيادات الأمنية التي تورطت في قمع شعبنا إبان حكم بن علي ثم من خلال سن قانون جديد منظم لقوات الأمن الداخلي ينتقل بالعمل الأمني من أمن الأجهزة إلى أمن المؤسسة و يخلص الأعوان و الاطارات من سياسة التهميش و الاستغلال التي ما يزالون تحت سلطتها و يحميهم من التتبع في صورة رفضهم لتطبيق التعليمات المخالفة للقانون. نعتقد أن هذا البرنامج يمكن أن يشكل مادة تفكير و عمل لمختلف القوى الثورية في المدى القريب و العاجل و يمكن بلورته ليتحول إلى مرتكز دعاية و تعبئة لإنارة السبيل في اتجاه استكمال مسارة الثورة في تونس و قطع الطريق أمام مناورات تخريبه التي تتولاها قوى الردة و الشد إلى الوراء.

LES COMPETENCES TUNISIENNES SONT EN PAGAILLES

LES COMPETENCES TUNISIENNES SONT EN PAGAILLES
Monsieur BEJI CAID ESSEBSSI continue à se foutre de la gueule des Tunisiens.
Lors de son dernier discours Monsieur BCE à signaler que certains de ses Ministres surtout ceux venant de l’étranger sont pressés de partir ou ne demande qu’à partir.
Est-ce que nous devons prendre ça comme une menace, une perte de compétence ou quoi encore ?
A mon sens la venue des Ministres Tunisiens de l’étranger ne rend pas service aux tunisiens à plusieurs raisons.
D’abord se sont des compétences qui n’ont pas vécu en Tunisie donc ils ne connaissent pas la Tunisie et les Tunisiens mieux que ceux qui ont vécu en Tunisie et cela n’est pas à leurs avantage en aucun cas.
Puis on ne les a pas forcés à venir en tout cas pas les Tunisiens, mais peut être d’autres parties ?????
On n’a aucune idée sur le cout de ces Ministres au budget de l’état ?
Ils n’ont aucune expérience politique ni expérience dans la gestion des crises.
A mon avis ils sont tous simplement des techno gestionnaires parachutés par les puissances qui gouvernent encore la Tunisie et le tiers monde et donc ils ne peuvent être que des gérants du nouveau monde que veulent instaurés les grandes puissances.
 A ce sujet je peux rassurer Monsieur BCE en lui disant que la Tunisie grouille de compétence qui ne demande qu’à servir la Tunisie rien que la Tunisie et personne d’autre, il suffit de leurs laisser le chemin libre.
Cependant, les Ministres qui sont pressés de partir peuvent le faire tout de suite personne ne les retient d’ailleurs ils n’ont pas fait grand-chose.  
A ce propos je lance un appel à toutes les compétences tunisiennes qui se sentent capables de faire quelques choses pour la Tunisie  dans ces circonstances difficiles de présenter ou de publier leurs CV dans le site du premier Ministère pour que Monsieur BCE puissent les connaître et faire appel à leurs services et au même temps libérer les Ministres venant de l’étranger le plus tôt possible

UNE PARTICIPATION ENCORE ACTIVE DU RCD DANS LA POLITIQUE ACTUELLE

UNE PARTICIPATION ENCORE ACTIVE DU RCD DANS LA POLITIQUE ACTUELLE  
Alors que d’un côté les Tunisiens dégueulent  chaque jour le mot  RCD, plusieurs partis politiques  constitué par les anciens RCD nous sort de l’autre côté.
En effet ,Il semble que les anciens RCD malades de la politique n’ont pas compris le message des Tunisiens qui ne veulent même pas entendre parler d’eux et non pas les voir sur la scène politique.
Il est alors du devoir du fameux gouvernement transitoire et des nouveaux partis politique s’ils se disent sérieux de mettre fin à cette mascarade et de dissoudre les partis politiques qui sont au nombre de 48 semble il, et qui sont constitués par les anciens membres  du RCD qui ont travaillés avec BEN ALI et qui ont occupés des postes de responsabilités sous son commandement à titre d’exemple le parti de Mr KAMEL MORJANE  et de Mr MED JEGHAM.
Voilà pourquoi à mon avis les Tunisiens n’ont pas encore confiance dans ce gouvernement provisoire ni dans les partis politique qui ne font que sympathiser avec les anciens du RCD pour récolter le maximum d’adhésion et par conséquent des voix pour les prochaines élections.
Devant cette situation les Tunisiens sage qui n’ont plus le choix vont allez progressivement vers un vote sanction que personne ne  souhaite aboutir  que vous avez certainement deviné.
Alors un appel au sérieux pour le gouvernement provisoire, pour le haut comité de la protection de la révolution et tout instance concerné pour sauver notre pays de ce dérapage qui risque de nous coûter cher à tous.         

A TITRE D'INFORMATION LE DECRET LOI POUR LA CREATION DE INSTANCE POUR LES ELECTIONS


Ci dessous le texte du décret loi portant création d’une instance supérieure indépendante pour les élections.
Il ya lieu de signaler que sont soumises au contrôle à posteriori de la Cour des Comptes, toutes les opérations financières effectuées par l’instance. La Cour des Comptes publiera, après avoir terminé l’opération de contrôle, un rapport financier au Journal Officiel de la République Tunisienne.
en attendant et pour des raisons de transparence l'instance pourra nous donner une première information sur la façon dont les deniers sont gérer actuellement ,de même la cour des comptes aussi .

Décret-loi n° 2011-27 du 18 avril 2011, portant création d’une instance supérieure indépendante pour les élections.
Le Président de la République par intérim,
Sur proposition de l'instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique,
Vu la loi n° 67-29 du 14 juillet 1967, relative à l’organisation judiciaire, au conseil supérieur de la magistrature, et au statut de la magistrature, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu la loi n° 68-8 du 8 mars 1968, portant organisation de la cour des comptes, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu la loi n° 72-40 du 1er juin 1972, relative au tribunal administratif, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu le code de la comptabilité publique, tel que promulgué par la loi n° 73-81 du 31 décembre 1973, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu la loi n° 89-87 du 7 septembre 1989, portant organisation de la profession d’avocats, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu la loi n° 94-60 du 23 mai 1994, portant organisation de la profession des notaires, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu la loi n° 95-29 du 13 mars 1995, portant organisation de la profession d’huissiers de justice, ensemble les textes qui l’ont modifié et complété,
Vu le décret-loi n° 2011-6 du 18 février 2011, portant création de l'instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique,
Vu le décret-loi n° 2011-14 du 23 mars 2011, portant organisation provisoire des pouvoirs publics,
Vu la délibération du conseil des ministres.
Prend le décret-loi dont la teneur suit :
Article premier - Est créée une instance publique indépendante appelée « l’ instance supérieure indépendante pour les élections » qui supervisera les élections d’une assemblée nationale constituante et dont la mission s’achèvera avec l’annonce des résultats définitifs des dites élections.
Art. 2 - L’instance supérieure indépendante pour les élections veille à assurer des élections démocratiques, pluralistes, honnêtes et transparentes.
Art. 3 - L’instance supérieure indépendante pour les élections est dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière et administrative. Ses ressources sont constituées par des fonds accordés par l’Etat à cet effet. Sont soumises au contrôle à posteriori de la Cour des Comptes, toutes les opérations financières effectuées par l’instance. La Cour des Comptes publiera, après avoir terminé l’opération de contrôle, un rapport financier au Journal Officiel de la République Tunisienne.
L’instance supérieure indépendante pour les élections dispose d’un budget propre. Ses dépenses sont imputées sur un compte ouvert en son nom et géré par son président sous le contrôle de deux membres de la cour des comptes et un expert comptable.
Les dépenses de l’instance sont dispensées du contrôle à priori des dépenses publiques et des dispositions relatives aux marchés publics.
L’instance est tenue de publier son rapport financier au Journal Officiel de la République Tunisienne et sur son site web à la fin du processus électoral.
Art. 4 - L’instance supérieure indépendante pour les élections prépare les élections, les supervise et contrôle les opérations électorales. A cet effet, elle veille à :
- assurer l’application du décret-loi relatif aux élections d’une assemblée nationale constituante,
- proposer la répartition des circonscriptions électorales qui sera fixée par décret après avis de l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique,
- préparer le calendrier électoral,
- arrêter les listes des électeurs,
- garantir le droit de vote à tous les citoyens et citoyennes,
- garantir le droit d’éligibilité selon les conditions légales y afférentes,
- recevoir les demandes de candidatures aux élections,
- assurer le suivi des campagnes électorales et veille à assurer l’égalité entre tous les candidats et candidates,
- organiser des campagnes pour vulgariser le processus électoral et inciter à la participation aux élections,
- contrôler le processus électoral le jour du déroulement des élections et suivre les opérations de vote et de dépouillement,
- recevoir et statuer sur les recours conformément aux dispositions du décret-loi relatif aux élections de l’assemblée nationale constituante,
- accréditer les observateurs et les contrôleurs tunisiens aux bureaux de vote,
- accréditer les observateurs internationaux à condition qu’ils soient des représentants d’associations et d’organisations internationales,
- annoncer et déclarer les premiers résultats des élections et publier les résultats définitifs,
- élaborer et publier un rapport sur le déroulement des élections.
Art. 5 - L’instance supérieure indépendante pour les élections se compose :
- d’une commission centrale ayant son siège à Tunis,
- des sous-commissions au niveau des circonscriptions électorales dont les sièges sont situés aux chefs-lieux des gouvernorats et aux sièges des missions diplomatiques.
La commission centrale fixe la composition et la structure des sous-commissions.
Art. 6 - Les membres de l’instance doivent remplir les conditions suivantes :
- la qualité d’électeur,
- l’expérience dans le domaine des élections,
- la compétence, l’impartialité, l’indépendance et l’honnêteté,
- la disponibilité à plein temps pour exercer leurs fonctions au sein de l’instance,
- ne pas avoir assumé de responsabilité au sein du Rassemblement Constitutionnel Démocratique durant les dix dernières années ou ne pas être impliqué dans l’appel de l’ex-président de la République à présenter sa candidature pour un nouveau mandat présidentiel en 2014.
Art. 7 - L’instance supérieure indépendante pour les élections est assistée par une structure administrative, financière et technique dont elle fixera l’organisation et les modalités de fonctionnement et qui sera soumise à son autorité directe.
Toutes les autorités publiques sont appelées à apporter à l’instance toutes les facilités dont elle a besoin pour accomplir ses missions.
L’instance supérieure indépendante pour les élections établit son règlement intérieur qui organise son fonctionnement.
Art. 8 - l’instance supérieure indépendante pour les élections se compose de seize (16) membres désignés par décret et choisis comme suit :
- trois (3) magistrats choisis par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi six (6) candidats dont la moitié est proposée respectivement par l’association des magistrats tunisiens et le syndicat des magistrats à parts égales parmi les conseillers du tribunal administratif, les conseillers de la cour des comptes, et les magistrats du troisième grade de l’ordre judiciaire,
- trois (3) membres choisis par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi six (6) candidats proposés par le conseil de l’ordre national des avocats,
- un membre parmi les notaires choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi deux (2) candidats proposés par la chambre nationale des notaires,
- un membre parmi les huissiers de justice choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi deux (2) candidats proposés par l’ordre national des huissiers de justice,
- un membre choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi deux (2) candidats proposés par l’ordre des experts comptables de Tunisie,
- un membre spécialisé en communication choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi deux (2) candidats proposés par le syndicat des journalistes Tunisiens,
- deux (2) membres représentant les organisations non-gouvernementales spécialisées dans le domaine des droits de l’Homme choisis par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi une liste de candidatures présentée par les dites organisations à l’instance,
- un membre représentant les Tunisiens à l’étranger choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi une liste de candidatures présentée à l’instance,
- un membre spécialisé en informatique choisi par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique parmi une liste de candidatures présentée à l’instance,
- deux (2) membres parmi les professeurs universitaires choisis par l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, parmi une liste de candidatures présentée à l’instance.
Le dépôt des candidatures est effectué dans un délai ne dépassant pas dix (10) jours à compter de la date de publication de présent décret-loi. L’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique veille au respect du principe de parité entre hommes et femmes.
Dans le cas de non dépôt des candidatures dans le délai sus-indiqué, l’instance supérieure pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique choisit directement les membres parmi ceux répondant aux conditions prévues ci-dessus.
Art. 9 - L’instance est présidée par un président qui la représente auprès des tiers et qui est élu par la majorité des membres de sa commission centrale.
La commission centrale élit à la majorité de ses membres un vice-président et un secrétaire général afin d’assister le président dans ses missions.
Art. 10 - La qualité de membre de l’instance supérieure indépendante pour les élections n’est pas cumulable avec :
- la qualité de membre du gouvernement,
- le poste de gouverneur ou secrétaire général de gouvernorat ou premier délégué ou délégué ou chef de secteur,
- un poste exécutif dans un établissement ou une entreprise publique,
- la candidature à l’assemblée nationale constituante,
- l’appartenance à des partis politiques.
Le président et les membres de l’instance supérieure indépendante pour les élections ne peuvent, durant la période de l’exercice de leurs fonctions, exercer aucun travail ou activité portant atteinte à l’impartialité de l’instance et son indépendance.
L’instance supérieure indépendante pour les élections décide, en cas de manquement de l’un de ces membres aux obligations indiquées ci-dessus, de mettre fin à ses fonctions à la majorité des deux tiers de ses membres et procède à son remplacement selon les mêmes conditions prévues par l’article 8 du présent décret-loi.
Art. 11 - Le président et les membres de l’instance supérieure indépendante pour les élections ne peuvent être poursuivis ou arrêtés pour des faits en relation avec leurs activités ou avec l’exercice de leurs missions au sein de l’instance sans avoir sa permission à la majorité des deux tiers de ses membres.
Art. 12 - L’instance supérieure indépendante pour les élections se réunit à la demande de son président ou d’un tiers de ses membres.
Ses réunions sont tenues au moins en présence de la majorité absolue de ses membres et ses décisions sont prises par consensus et à défaut, à la majorité des deux tiers de ses membres.
Art. 13 - L’instance supérieure indépendante pour les élections présente un rapport détaillé à propos du déroulement des élections qu’elle publiera avec l’annonce des résultats définitifs au Journal Officiel de la République Tunisienne et au site web de l’instance.
Art. 14 - Le présent décret-loi sera publié au Journal Officiel de la République Tunisienne et entrera en vigueur à compter de la date de sa publication.
Tunis, le 18 avril 2011.
Le Président de la République par intérim
Fouad Mebazaâ

dimanche 14 août 2011

RETRAITE DES TUNISIENS VOLE PAR LE RCD



De source digne de confiance, savez vous que la CNSS avait une convention avec le RCD pour payer annuellement une subvention qui varie entre  8 millions et 12 millions de Dinars.
Alors qu’on parlait de proroger l’âge de départ à la retraite de 60 ans à 65 ans l’argent des salariés étaient spoliés par les criminels du RCD.
D’après le journal de la presse du 14/08/2011 ,1.600 biens immobiliers appartenant à l’ancien RCD répertoriés doivent être remis à l’état.
Pourquoi ne pas remettre ces biens à la CNSS pour qu’elle restitue ses avoirs et ainsi équilibrer les finances de la    caisse et permettre aux tunisiens de jouir d’une retraite paisible après une trentaine d’année de dur labeur.
Par la même occasion un œil doit être mise sur la CNSS pour sauvegarder les acquis des salariés et ainsi punir les malfaiteurs qui jouissent jusqu’à maintenant du silence des responsables.
Pour une meilleure gestion des biens de la CNSS pour avoir une meilleure rentabilité et garantir une bonne retraite aux tunisiens.     

vendredi 12 août 2011

TUNISIENS DEMANDEZ PARDON A VOS TORTIONNAIRES

TUNISIENS DEMANDEZ PARDON A VOS TORTIONNAIRES

J’ai essayé d’observer le silence depuis quelques temps dans l’espoir de voir le vent de notre révolution bouger dans le bon sens.
Les derniers jugements de SERIATI et les quelques membres de la famille Trabelssi m’ont sorti de mon silence.
En effet quatre mois à six ans d’emprisonnement aux tortionnaires des tunisiens et acquittement pour SERIATI dont le simple fait de citer son nom en Tunisie faisait trembler les tunisiens me laisse perplexe.
L’appareil judiciaire en TUNISIE semble toujours en panne car on n’a pas trouvé de bon mécaniciens.
En conséquence il me semble être plus judicieux d’arrêter cette mascarade de jugement à la hâte et avec une machine judiciaire en panne.
Il faut attendre qu’un nouvel appareil judiciaire soit installé après les élections pour redémarrer ces poursuites.
Je rappelle que la vengeance est un plat qui se mange à froid alors rien ne sert de courir.
Autrement les jugements à venir seront  du type :
 TUNISIENS DEMANDEZ PARDON A VOS TORTIONNAIRES