mardi 4 septembre 2012

SAUVER LE TOURISME TUNISIEN
LE 4 SEPTEMBRE 2012
1.       Répondre aux questions qui suivent permettra de sauver peut être notre tourisme tunisiens
2.       Pourquoi notre tourisme ne marche ?
3.       Pourquoi notre tourisme s’adresse t il à la catégorie la plus basse de touriste de point de vue économique ?
4.       Qui dirige nos unités hôtelières ?sont ils des professionnelles ou professionnels improvisés ?
5.       Comment et par quels moyens les propriétaires des unités hôtelières ont-ils étaient acquises ?
6.       Quel est le degré d’endettement des unités hôtelières et pourquoi sont-elles à ce haut niveau d’endettement à la limite catastrophique ?
7.       Pourquoi notre tourisme se vends à très bas prix pour le touriste étranger et au prix le plus fort pour les tunisiens ?
8.       Est-ce que le service de no unités hôtelières répond aux normes internationales ?
9.       Jusqu’à quand allons continuer à subventionner nos unités hôtelières via les avantages fiscaux et autres que nous sommes en train d’accorder à ce jour et notamment celui des réinvestissements exonérés qui constituent un moyen d’évasion fiscale par excellence ?
10.   Pourquoi nos unités hôtelières sont elles toutes construites sur des terrains qui s’étendent sur des hectares contrairement aux unités hôtelières européennes qui sont construites sur des terrains de pas plus de 100 à 200 m carrée ?    
LE DINAR ET LES TUNISIENS AGONISENT
LE 4 SEPTEMBRE 2012
Jusqu’ou allons nous avec la dévaluation du Dinars ?
Qui peut nous renseigner exactement sur la situation réelle de notre Dinars ?
Avons-nous intérêt à dévaluer notre Dinars ?
Qui a décidé cette dévaluation? Est-elle une décision de la FMI ou la BANQUE MONDIALE ? Si c’est le cas quelles confiances pouvons-nous donner à ces organismes ?
A titre d’exemple l’Italie qui dans le passé avait une lire dont les 1000 lires qui valaient 0,350 Dinars actuellement la lire vaut un EURO et un EURO vaut 2 Dinars soit une dévaluation du Dinars par rapport à lire italienne de 175 %.
Le Tunisie s’appauvrit de jour en jour sans s’en rendre compte, nous sommes entrain de détruire notre balance commerciale par nos propres décisions et je me demande jusqu’où cela va-t-il continuer et que faire ?    
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PERIPECIE D’UN VOYAGE AVEC TUNIS AIR

Un départ pour ROME avec Tunis air le 27 août 2012 avec un retard d’une heure.
Un retour de VENISE avec Tunis air le 2sepetembre 2012 avec un retard de 15 mn.
Au départ de VENISE vol 473 Tunis air et au bureau d’enregistrement des bagages l’employée Italienne de Tunis air désagréable comme tout avait mal mené tous les voyageurs Tunisiens pour question d’excédent de bagages.
A titre d’exemple une personne accompagné par son fils ayant deux valises dont l’une pesait 19Kg l’autre 22Kg a été contrainte de payer un excédent de bagages de 2kg, l’employée était ferme en disant qu’elle avait des instructions pour zéro tolérance.        
 La valise qui pesait 19kg a été inscrite pour 20 kg donc vol d’un kg qui sera certainement utilisé au profit d’une personne.
L’excédent réel est e faite de 1KG, vaut il la peine pour la compagnie de causer le désagrément à son client de faire la queue pour payer un ou deux kg d’excédent.   
Les autres voyageurs étaient contraints à ouvrir leurs valises sur place et les décharger en bagage à mains, qu’est ce que TUNIS AIR a gagné ?simplement le désagrément de ces clients par  des personnes qui montaient en avion avec plein de bagages à main.
Le service dans l’avion est d’une dégradation incroyable.
Je comprends Tunis air et je suis pour la rigueur dans gestion mais au point ou sommes arrivés personnellement j’étais parmi ceux qui défendait l’utilisation des services de TUNIS AIR mais maintenant je vous assure que dans l’avenir je voyagerai dans n’importe quel compagnie aérienne sauf avec TUNIS.
Je me demande d’abord s’il ya règlement de d’excédent de bagages pourquoi pas en TUNISIE et en dinars tunisien, pourquoi ne pas employé du personnel tunisien dans les aéroports étranger au lieu du personnel étranger.  
Plusieurs questions se posent ou va-t-elle cette compagnie ? Va-t-elle pouvoir continuer à ce rythme ?